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Festival « Bébé Art 2013 »

Du 21 au 25 mai se déroulera la 4ème édition du festival « Bébé Art », à Perpignan, un festival d’éveil artistique et culturel des tout-petits.
Animations, ateliers, conférences, café-débat… seront organisés sur l’ensemble de la ville (théâtre de l’Archipel, théâtre municipal, médiathèque, cinéma, etc.) et dans les structures « Petite Enfance ».

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L’objectif affiché est de pouvoir partager les projets mis en place pour rendre l’art et la culture accessibles à tous. Le festival « Bébé Art » est dédié à tous les enfants de 0 à 3 ans ainsi qu’à leur famille et promet de belles rencontres.

Cette semaine se conclura le samedi 25 mai, de 15h à 18h, par une après-midi festive à la Casa Musicale, avec concerts, ateliers et différents intervenants sur le thème de la nature._

– Renseignements : 04 68 66 35 54

La démocratie expliquée à mon député !

Surprise théâtrale de et avec Cécile Canal, d’après les conférences d’Etienne Chouard, à l’initiative de Vallespir Terres Vivantes.
Créée en juillet 2012 à Avignon, « La démocratie expliquée à mon député ! » a, depuis, été jouée en Tunisie, en appartements et dans des lieux associatifs, afin de « porter le théâtre hors les murs ».
La pièce se présente comme une conférence ludique et décalée sur le fonctionnement du tirage au sort à Athènes, aux Vème et IVème siècles avant Jésus-Christ. Elle interroge sur l’efficacité de l’élection, redéfinit les notions de démocratie et de gouvernement représentatif et s’amuse à démonter les objections qui fusent dès qu’est évoquée l’idée du tirage au sort pour une gestion vraiment démocratique des choses de la Cité…

La pièce sera jouée à Céret, le vendredi 17 mai, à 20h 30, salle du cinéma Le Cérétan (entrée libre, participation au chapeau à la fin du spectacle – chacun met ce qu’il veut en fonction de ses moyens et de sa satisfaction). En attendant… Vous pouvez soutenir la Compagnie cérétane (eh oui !) CRSE, qui est actuellement à la recherche de financement pour le prochain Festival Off d’Avignon : http://www.kisskissbankbank.com/fr/projects/la-democratie-expliquee-a-mon-depute

Long métrage Bruno Ulmer présente à Canet « Orsay » à l’auditorium du lycée Rosa Luxemburg…

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Vendredi 17 mai, à 18h, dans le cadre du Cycle des conférences. Au tournant des XIXème ret XXème siècle, certains artistes ont marqué l’histoire de l’art par leur audace picturale. Ces grands noms, aujourd’hui personnages incontournables de l’histoire de l’art, constituent la plus grande révolution qu’ait connu la peinture : le tournant de l’Art Moderne.

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Présenté par Bruno Ulmer, le réalisateur, « Orsay » dure 86 minutes; il est produit par Ladybird Films, le Musée d’Orsay et Arte (France/ 2011). Pour ses vingt-cinq ans, le Musée d’Orsay se refait une beauté, mais son histoire, la grande comme la petite, déborde du cadre du Musée. Dans une forme narrative et un filmage inédit, Bruno Ulmer donne chair et âme au lieu. Avec près de trois millions de visiteurs, chaque année, depuis 2010, et un peu plus de 75 millions depuis l’ouverture !, Orsay est bien le musée populaire qu’on attendait…

Louis Aliot et Marine Le Pen amarrent leur bateau à Banyuls-sur-Mer

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Domiciliés depuis deux années environ à Millas, à l’ouest de l’agglomération perpignanaise, Marine Le Pen, la présidente du Front national (FN), députée européenne, et son compagnon, Louis Aliot, avocat à Perpignan, conseiller régional des P-O, vice-président du FN et tête de liste « Bleu Marine » sur le chef-lieu du Roussillon aux prochaines élections municipales (mars 2014), ont choisi le port de plaisance de Banyuls-sur-Mer, en Côte Vermeille, pour amarrer leur bateau à l’année… et se rapprocher ainsi du Cap Creus dont, nous dit-on, le panorama environnemental les subjugue à chaque fois.

Anoblir les berges de la Têt

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Le club Perpignan 2020 organisait son 8e forum public, sur le thème « Habitat et urbanisme, se loger et vivre à Perpignan », ce 15 mai au restaurant Le pas très sage, en présence de 140 personnes. Cette rencontre a été introduite par le maire-adjoint et architecte Jean-Claude Kaiser, annonçant fièrement que la « planification urbaine ébauchée en 1993 avec Jean-Paul Alduy est réalisée ». Une équipe de trentenaires réunissant depuis plusieurs semaines l’architecte Adrienne Costa, la sociologue en Ingéniérie sociale Elodie Vermast et l’informaticien britannique Matthew Leigh, a développé une analyse d’ensemble, sous la houlette de l’aménageur foncier Julien Carbonnell, pour lequel Perpignan « mérite d’être renversée vers son centre, elle doit redevenir désirable ». Ce technicien a évoqué les trois exigences urbaines mondiales de développement durable : avancées technologiques, transition énergétique et logement décent, couplé à une nourriture saine. Ce décor planté, Romain Grau a présenté un plan d’action global en continuité de l’action de J.P. Alduy, présent dans la salle, aux côtés du maire-adjoint Marcel Zidani. Le président de Perpignan 2020 a insisté sur le « succès » des politiques d’urbanisme à Perpignan, car « la ville est plus belle », avant de tempérer « mais il faut requalifier certains quartiers. La « gentrification » observée dans les pays du Nord est une reconquête des cœurs de ville par des populations dynamiques ». L’exemplarité des grandes villes remodelées, dont Glasgow et Londres, mais aussi Lisbonne et Lyon, a été évoquée dans les détails, avec un coup de projecteur sur Bilbao, dont le musée Guggenheim, ouvert en 1997, a donné une « visibilité mondiale à cette ville », comme le soulignait Matthew Leigh. Romain Grau complétait « misons fort sur la Culture, comme force structurante » et citait le Théâtre de l’Archipel, comme « phare d’une ville renouvelée », ayant « transformé une bonne partie du quartier environnant » et à « amélioré l’image de Perpignan ». Surtout, l’élu défendait avec détermination une réappropriation des berges de la Têt et décrivait avec passion le réaménagement « Rives de Saône » mené sur 15 km par la Communauté urbaine du Grand Lyon. Il concluait « Sur l’axe Le Soler – Perpignan – Canet, une réappriation des berges de la Têt est fortement souhaitable, avec l’appui de l’Agglomération Perpignan Méditerranée ».

Ce forum technique, accompagné d’images, statistiques et schémas, a abordé les autres besoins d’équilibres urbains, dont une proximité maritime à réinventer, la place de l’Université et les technologies à inclure dans un projet de Smart City, ou ville intelligente. Ces questionnements ont révélé un besoin de modestie invitant à « comparer Perpignan à Orléans », selon Romain Grau, et à considérer le coût de cette vision de la ville, volontairement axée sur 2050, car Perpignan 2020, qui vise une échéance proche, fixe un cap plus lointain, à préparer sans tarder pour préserver les générations futures. Sur ce principe, Julien Carbonnell insistait « Regardons les villes de demain pour mettre en place des politiques cohérentes. Perpignan mérite une meilleure densité qualitative en matière d’habitat et d’urbanisme. Mêlons les générations, ramenons les étudiants en ville, et surtout associons les populations au changement ».

PRÉSENTATION DE LA 9ème EDITION « PERPI-JEUX »

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Jeudi 16 mai 2013, à 11h 00, Salle de presse, Hôtel de Ville, Place de la Loge, monsieur le maire de Perpignan, madame le maire adjoint déléguée à la Cohésion Sociale, et un représentant du collectif associatif, présenteront la 9ème Edition « Perpi-Jeux », qui se déroulera les 18 et 19 mai 2013 à la Casa Musciale.

Manifestation à partager entre générations, gratuite et ouverte à tous, les partenaires associatifs et la Ville de Perpignan vous convie à vous initier aux Jeux.

L’opération de Riberach « Tous à la Coopérative » commence …demain !

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Dès demain mercredi 8 mai débute à Riberach (Bélesta) l’opération
« Tous à la Coopérative ! » soit 1 Menu acheté = 1 Menu offert !

Du mercredi 8 mai au dimanche 12 mai, le chef de la Coopérative Laurent Lemal propose comme menu « Tous à la Coopérative » :

Pour patienter…
« Churros » Paprika et fleur de sel

Tapenade…
Sphère « solide-liquide » / Crumble Parmesan

Saumon Fumé par nos soins
Biscuit à la fève Tonka / Condiment citron Meyer / Jaune d’oeufs marinés pickles

Les Asperges
Mijotées dans un risotto de Coquillettes / Parmesan / Noix de jambon de chez Xifre

L’épaule de cochon « Tirabuixo » de Ste Léocadie
Cuit longuement à basse T° servi dans l’esprit d’un Parmentier

Le bleu de Sophie Sola
Version crème glacée / Biscuit sec au jus de persil

Les Cerises de Céret
Cheese cake siphonné / Miettes de crumble aux amandes

Menu à 55 € Hors boissons
Réservation au 04 68 50 30 10

La curiosité est un joli défaut …

Envie de Vert le samedi 18 mai au Centre del mon

Affiche-Envie-de-Vert

Une journée sous le signe de nos
Envies de Vert
au Centre Del Mon ce samedi 18 mai !

Le joli mois de mai est bel et bien là ! Et avec lui, toutes nos envies de ciel bleu, de soleil et de nature … Aussi pour répondre à toutes nos envies de Vert, el Centre del mόn a imaginé une belle journée de rencontres et d’animations pour les plus petits comme les plus grands ce samedi 18 mai de 10h à 18h ! Rendez -vous donc au «centre du monde» de toutes nos envies !

LE PROGRAMME

MARCHE ET ANIMATIONS FLEURS & NATURE :
Avec entr’autres : Bonsaïs Perpignan, l’Oasis Fleurie, Pépinière Moulin de Rombau, le corner Feng Shui de Christine Fageot (Diapo Jardins Zen), Barbarine (produits gourmands à base de Cactus), L’épicerie fine Casa Gala de Collioure et les produits «Vent de sud» (www.ventdesud.com/), le stand «Alter Eco» de la CTPM ( nouveau service de transport à vélo), stand E-Motorist (location de scooters électriques), stand de présentation du «BP Fleuriste du Lycée Professionnel Agricole Claude-Simon (CFA) de Rivesaltes et du Concours du Meilleur Apprenti de France dans le métier de fleuriste». Et avec la participation du magasin IN-OUI, mobilier d’extérieur FERMOB.

ACTIVITES EN PLEIN AIR AVEC LES ENFANTS avec BIBIMOB.FR, le site web dédié aux familles et aux professionnels de l’enfance. Avec : les poules et lapins de la Ferme ST ROCH de Villemolaque, les lutins du «Royaume des lutins et de la féerie» de Théza, la «Vallée des Tortues» de Sorède, Bébé Drago et de nombreuses animations de l’UCPA de St Cyprien.

ATELIER MAQUILLAGE ENFANTS : fleurs, papillons, végétaux, coccinelles, par une maquilleuse professionnelle sous la Pergola ! De 10h à 12h et de de 14h à 18h.

LA CABINE CATACULT : «METS TA MÈRE EN BOÎTE». Pour offrir aux mamans le plus joli des cadeaux de Fête des mères : une photo avec sa tribu déguisée et maquillée sur le thème du jardin et des fleurs ! Vente des photos à 3€ ! De 14h à 18h.

Retrouvez toutes les infos sur www.centredelmon.com

Les vignerons du Fenouillèdes à Marcevol

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Dimanche 5 mai, les vignerons du Fenouillèdes (avec Roots 66) sont à Marcevol !

Les vignerons de l’association (liste sur http://www.vins-fenouilledes.com/) vous proposent cette année de venir les rencontrer dans le magnifique site roman du Prieuré de Marcevol .
Au programme, en plus de nos vignerons: petit marché de produits d’ici et de saison, visite guidée du prieuré, restauration en campagne, et le soir musique et cochon grillé (sur réservation), pour profiter de la nuit étoilée loin des sources lumineuses urbaines…

Les vignerons du Fenouillèdes ce sont des hommes et des femmes, qui travaillent des terroirs variés, souvent difficiles avec un climat idéal pour produire du vin ( beaucoup de vent, peu de sols, beaucoup de soleil et de chaleur et cette année pas mal d’eau…).

En les rencontrant là, vous aurez du temps pour discuter de vinification, de méthodes différentes, de philosophie de vie et bien sûr le temps de goûter les vins de différents millésimes.

Venez en famille pour profiter de la vue, du site exceptionnel du Prieuré, vous pourrez vous balader, apprendre, sentir, humer, trouver… Avec pique nique ou en trouvant sur place de quoi le composer…

Vide-greniers : le grand déballage de nos villages

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Chaque dimanche, aux quatre coins du département des Pyrénées-Orientales, on assiste à un grand déballage sur le sol roussillonnais. Des Aspres à la Salanque, de la Côte Vermeille au Capcir, des Albères aux Fenouillèdes, en passant par la Cerdagne et le Conflent, il n’y a pas un clocher, ou presque, qui ne soit concerné par cette ruée dominicale qui transforme nos villages en supérettes de la brocante. Et la moindre de ces manifestations atterrit évidemment dans l’agenda permanent des réseaux sociaux !

Chacun(e) y va de sa chaise, de sa table, de son guéridon, de son parasol, de son tapis, voire de son chapeau pour étaler tout son marchandage au grand jour, exposant petits trucs, astuces et trésors de famille dans une ambiance particulièrement colorée… surtout lorsque le beau temps est de la partie.

Articles d’occasion, en bon état ou à l’aspect neuf en tout cas, « rossignols » des quatre saisons ayant parfois traversé les générations avec plus ou moins de succès, collections de disques ou de bouquins, garde-robe, souvenirs d’ici et d’ailleurs, flacons de parfums épuisés, sous-vêtements fatigués : un vide-grenier c’est aussi l’occasion de pénétrer l’intimité d’un foyer qui se débarrasse d’objets plus ou moins sentimentaux qui, derrière le matériel, cachent un spirituel qui a vécu le climat d’une famille du sol au plafond. Murs (in)compris car, c’est bien connu, les murs ont (parfois) des oreilles !

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Dans un univers fait de bric et de broc et de cacophonie, c’est un drôle de défilé qui s’empare de la rue dans le climat du vide-greniers : avec ses personnages déjantés, ses anciens « à la mode de Paris », avec ses grenouilles de bénitier obligées de creuser la foule et ses looks polychromes pour rejoindre la messe dominicale, ses jeunes gens obsédés à kiffer tout ce qui est fashion, quitte à s’égarer dans l’équivoque avec des vêtements portés sens dessus dessous (et vice-versa), des accessoires de nuit montrés le jour… Entre ces zestes du quotidien, un certain art de vivre galope, se faufile… Vous l’avez compris, deviné, ou vous le saviez déjà, bien sûr !, le vide-greniers est un lieu qui inspire, avec ses touches ethniques, ses « pièces d’or » ou ses tendances rococo. Mais voilà qu’ils s’étirent, dans les rues de Latour-Bas-Elne, sur les quais de Port-Vendres ou en lieu et place du marché de Saint-Laurent, les vide-greniers sont devenus « incontournapples » ! Bizarrement, ils font même monter le prix du café-croissant et les tarifs de certaines consommations en terrasses partout où ils s’installent… tellement, sous le printemps, ils sont sources d’énergie solaire.

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– Prochains vide-greniers…
Dimanche 28 avril 2013 : Bompas, Perpignan-sud (Mas Balande), Rivesaltes, Saint-Génis-des-Fontaines, Saint-Laurent de la Salanque et Serralongue._

Gérard Rivière a mis son grain de sel dans nos assiettes !

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On connaissait « made in Roussillon » l’agneau catalan, le veau des Pyrénées, la cerise de Céret bien sûr !… Désormais, il faut aussi compter avec la « fleur de sel du Roussillon » née et élevée dans les mains d’un personnage atypique, Gérard Rivière, au physique imposant, solide comme un roc mais tendre comme le nounours en chocolat-guimauve créé par l’entreprise perpignanaise Cantalou, et commercialisé dorénavant sous la marque Cémoi.

Gérard Rivière fait partie de ces petits producteurs, de ces artisans-artistes issus de cette France des régions qu’on aime, qui élaborent quotidiennement, précautionneusement, un rempart contre la malbouffe.

Lui, c’est à Saint-Laurent de la Salanque, dans sa ferme familiale maritime, à partir d’eau de pleine mer mise à sécher sur des tables en résine alimentaire, à un mètre du sol, « ce qui permet d’éviter toute pollution due habituellement aux eaux de ruissellement ou autres pollutions accidentelles », légende-t-il.

Gérard Rivière n’a pas attendu les scandales alimentaires qui ont récemment encore défrayé la chronique, pour ouvrir grandes les portes de son exploitation. Chez lui, tout se visite ! Tout est public. La traçabilité est son mode d’emploi. Il est toujours prêt à vous inviter dans la vaste salle à manger pour vous offrir le café tandis qu’il détaille en tenue de marin breton (n’y voyez surtout pas un effet de style ou de mode !) les différentes étapes de son métier, une authentique passion !

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– « Le suivi du sel dès son prélèvement par des analyses ponctuelles du Laboratoire départemental et les services chargés de vérifier la qualité des produits alimentaires mis sur le marché (DGCCRF), font apparaître une qualité exceptionnelle de notre produit, que nous souhaitons le plus haut de gamme possible ! », s’exclame-t-il fièrement, et légitimement, sous la bannière « Sud de France » (le label du Conseil régional Languedoc-Roussillon).

Et c’est tellement vrai, que lui et les siens s’inquiètent chaque seconde de la poussée de cette « fleur de sel du Roussillon », qu’ils bichonnent, qu’ils affectionnent, qu’ils surveillent, à la hauteur de son statut d’élément actif, vivant… Ce n’est pas pour rien que l’on dit « Le sel de la terre »…

A l’image de son produit de aqui, et de cette Salanque indomptable, Gérard Rivière ne manque pas de sel : esprit, finesse, gaieté… et piment ! D’ailleurs, son sel, il l’a mis à toutes les sauces, histoire de mettre son grain de sel dans les recettes du terroir : fleur de sel du Roussillon naturelle (aucun ajout, aucun retrait), fleur de sel au poivre de Séchuan, au piment d’Espelette, fleur de sel aux herbes (sarriette, romarin et thym), sel fou catalan (créé sur une humeur Dalinienne…), fleur de sel avec piment Niora, fleur de sel macérée au Vieux-Banyuls (du Mas Blanc en collaboration avec le talentueux Jean-Michel Parcé), fleur de sel au Byrrh des caves de Thuir, fleur de sel au Maury, etc., etc. Les variétés sont diverses, étonnantes et gourmandes. Elles se déclinent pour la plupart dans des pots de 100 grammes dont le look rappelle plutôt des produits de la cosmétologie que des emballages alimentaires traditionnels.
Il vient d’innover encore avec des bonbons au caramel salé… Que du bonheur au palais !
Aujourd’hui, Gérard Rivière a réussi son pari. Le pari du goût, certes, mais aussi le pari de la commercialisation, puisque la fleur de sel du Roussillon est présente sur (presque) tous les étals des marchés de plein air, dans les épiceries fines, les boucheries, charcuteries, poissonneries… à la table des grands chefs de cuisine étoilés… On la trouve même dans certaines boutiques de souvenirs, où les produits identitaires sont rois, plébiscitée par les voyageurs et autres visiteurs qui souhaitent rapporter un témoignage de leur séjour en Catalogne nord._

AUX SELS DU ROUSSILLON
3 rue du Bac prolongée 66250 Saint-Laurent de la Salanque.
Tél. 04 68 59 66 06 et 06 03 08 61 29. Fax. 04 63 600 200.
auxselsduroussillon@aliceadsl.fr

Le maire de Port-Vendres a décidé d’éclairer l’obélisque sur toute sa hauteur

Le maire de Port-Vendres a décidé d'éclairer l'obélisque sur toute sa hauteur
Le maire de Port-Vendres a décidé d’éclairer
l’obélisque sur toute sa hauteur

Sous l’impulsion de son maire, Jean-Pierre Roméro, le conseil municipal de Port-Vendres vient de voter le financement de l’éclairage de l’Obélisque qui se dresse sur la place dominant le port.

D’une hauteur de trente-trois mètres, réalisé à la demande du Comte de Mailly dans les années 1780 à 1783, l’Obélisque de Port-Vendres est le seul monument encore debout en France érigé à la gloire de Louis XVI.

Pour Jean-Pierre Roméro, « il est urgent de mettre en valeur le patrimoine de Port-Vendres, dont bien sûr l’Obélisque est partie intégrante. C’est dommage, la nuit tombée, qu’il soit invisible depuis la baie. Désormais, il sera visible depuis Banyuls ! Nous avons voté en conseil municipal une enveloppe pour l’éclairer sur toute sa hauteur à partir du bas, ce sera un peu notre Tour Eiffel ».

Le conseil municipal a également prévu de faire repeindre l’église Notre-Dame de Bonne Nouvelle de Port-Vendres, construite en 1888 et située à proximité de l’Obélisque. Il s’agira d’en renforcer aussi l’éclairage pour souligner tout l’esthétisme de ce bâtiment à la façade surprenante – un curieux amalgame architectural car mêlant plusieurs styles – mais d’exception, avec sa nef très élancée._

Claude Ollivier, chapeau l’Artiste !

Claude Ollivier a déjà exposé à : Paris à la fin des années 80, où il faisait partie de l'Atelier du Canal Saint-Martin) ; à Canet-en-Roussillon (1994, 96) ; à Argelès-sur-Mer (1995, 97) ; au Boulou (2000) ;à Collioure (2001) ; au Barcarès (2011) ; à Salses-le-Château et Rivesaltes (2012)... Il a été sous contrat avec la Galerie de l'Olympe à Perpignan (de 2004 à 2008).

Bien que Bordelais de naissance, Claude Ollivier, 78 ans, est connu comme le loup blanc à Saint-Laurent de la
Salanque, où il trempe ses pinceaux d’artiste…

Il est un peintre atypique, c’est sûr : sa qualité d’enseignant l’a emmené à faire de longs séjours en Afrique francophone, en Amérique latine – notamment auprès des peintres naïfs qui tutoient les couleurs célestes à partir des sommets des Andes.

De ces voyages, de ces rencontres, de ces aventures, de ces complicités avec une nature généreuse en couleurs et en parfums, Claude Ollivier a ramené, à Saint-Laurent, les palettes de la Vie, un peu-beaucoup comme lorsque Gauguin, « mon maître à peindre de toujours ! » dit-il, a initié « l’école de Pont-Aven » avant son départ pour Tahiti.

Lui, Claude Ollivier, c’est au retour qu’il a impulsé un rythme artiste en Salanque, comme d’autres, ailleurs dans le département, ont semé et/ ou provoqué des foyers artistiques sous le soleil de Céret, Collioure… et Bages.

L’exotisme qu’il a pu ramener dans ses bagages, Claude Ollivier l’a répandu en Salanque avec un style très personnel, dans lequel s’actionnent de nombreux personnages et paysages lumineux, qui flattent l’existence : sous une apparence de simple nature morte, il y a des traits qui viennent souligner la vie, des rouges explosifs en abondance qui sont en permanence en compétition avec un jaune solaire, des orangers qui « pètent ».

On lui pardonnera de s’être laissé séduire par la mode locale qui veut que chaque artiste-peintre du cru s’exécute, aussi, dans la réalisation d’un clocher (de Collioure of course !) ou d’une sardane (de Céret de préférence)… Dans d’autres coins de France ce sont les menhirs, les moulins, les coquillages, les tournesols, les « Marie-Jeanne »… Incontournables territoires qui s’affichent en terroirs !

Sa peinture est joyeuse, lumineuse, parce qu’elle repose avant-tout sur une extrême hardiesse dans le choix des couleurs. A l’hardiesse !, une vertu dit-on des Laurentins… lorsqu’ils naviguent en Salanque. En tout cas, grâce à cet homme de peinture(s), mais également de théâtre et de poésie qu’est Claude Ollivier, Saint-Laurent de la Salanque a son Lydia, son clocher, sa sardane (photo)… son clair de lune !

OLLIVIER-CLAUDE

Claude Ollivier a déjà exposé à : Paris à la fin des années 80, où il faisait partie de l’Atelier du Canal Saint-Martin) ; à Canet-en-Roussillon (1994, 96) ; à Argelès-sur-Mer (1995, 97) ; au Boulou (2000) ;à Collioure (2001) ; au Barcarès (2011) ; à Salses-le-Château et Rivesaltes (2012)… Il a été sous contrat avec la Galerie de l’Olympe à Perpignan (de 2004 à 2008).

Le combat de Fernand Siré (UMP), député-maire à St Laurent de la Salanque, pour « renforcer la moralisation de la vie publique (…) »

Fernand Siré : Rétablir la confiance vis à vis du citoyen
Fernand Siré : Rétablir la confiance vis à vis du citoyen

Le docteur Fernand Siré après avoir travaillé, depuis plusieurs mois sur le sujet, a déposé le 10 avril dernier sur le bureau de l’Assemblée nationale trois propositions de loi, dont une constitutionnelle et une organique, visant à renforcer les motifs d’inéligibilité des candidats aux élections nationales et locales.

Le député-maire UMP de Saint-Laurent de la Salanque avait d’ailleurs fait part de ses travaux, en juillet 2012 déjà, à l’ancien Premier Ministre Lionel Jospin, président de la Commission nationale de rénovation et de déontologie de la vie publique qu’il n’avait pas repris dans son rapport remis au Président de la République François Hollande…

Alors que l’actualité nous démontre encore – « l’affaire Cahuzac » du nom de l’ex-Ministre du Budget, Jérôme Cahuzac – la nécessité de renforcer les mesures visant à une totale exemplarité des représentants de la nation, le député souhaite, à travers ces textes, « rendre l’inéligibilité systématique pour les personnes ayant fait l’objet, depuis moins de dix ans, d’une condamnation définitive, pour des faits de corruption et de prise illégale d’intérêts et pour toutes les infractions qui seraient incompatibles avec la déontologie et l’exercice des fonctions. Alors que nous assistons à une perte de confiance des Français envers leurs élus, il est nécessaire de prendre des mesures pour moraliser encore davantage les fonctions électives (…) ».

Tandis que la présentation du casier judiciaire est demandée pour l’obtention de nombreux postes dans la fonction publique et pour certaines professions (médecins, avocats, etc.), Fernand Siré, « dans un souci d’équité et de justice », veut permettre aux préfets, dans le cadre du contrôle des inéligibilités, « de se procurer le bulletin n°2 du casier judiciaire des candidats et de faire appliquer les nouvelles inéligibilités (…) ».

À travers ces propositions de loi que le député-maire de Saint-Laurent de la Salanque souhaite prochainement inscrire à l’ordre du jour de l’Assemblée nationale, il veut « régénérer le statut de l’élu afin de restaurer la confiance en notre système politique et nos institutions… Il est crucial que l’élu fasse preuve d’exemplarité pour être capable d’assumer les responsabilités qui sont les siennes dans un climat de confiance vis-à-vis des citoyens »._