Les évènements du mois à ne pas manquer aux médiathèques communautaires du Bassin d’Ille-sur-Têt, avec « Les contes de mémère Germaine » le vendredi 9 novembre à Ille-sur-Têt !
Germaine , la narratrice, étant une femme, pas ici de combats ni de vie de tranchée ; juste un vécu de la guerre depuis un village en zone de combat, tantôt français, tantôt allemand, où la guerre est bien présente, tout à la fois lointaine et pesante, proche et absente, contée par une jeune femme comme tant d’autres, restée travailler aux champs et nourrir les bêtes, fille ainée d’une fratrie dont le père veuf en charge de famille ne fut pas mobilisable, celle d’une jeune femme qui allait perdre un frère et un mari.
Après un prologue et un conte introductif (« Élevè des loups… »), vient une suite de 5 contes, comme les 5 années de guerre : « La couleur du blé », «un petit cheval nommé Bijou», « Aussi vrai qu’une complainte », « Le puits », « A l’Hôtel de la Grange de Champfleury » ; autant de récits de vie, donc authentiques, avec des digressions, clins d’œil au monde de l’enfance, citations ou références au conte, à la littérature jeunesse, en dialogue, amplifiés, soulignés, accompagnés… à l’accordéon, aussi bien par des variations et improvisations à partir de comptines, complaintes, chansons enfantines, mélodies populaires connues et reconnaissables que par des créations.
Ainsi est offerte à tous, jeune public, adolescents et adultes, une approche non pas historique mais sensible de « la grande guerre », et au-delà, de toutes les guerres ; à hauteur d’homme, la voix d’une femme, une grand-mère qui raconte, certes pour un enfant mais aussi, finalement, pour tous : petits et grands.
Germaine , la narratrice, étant une femme, pas ici de combats ni de vie de tranchée ; juste un vécu de la guerre depuis un village en zone de combat, tantôt français, tantôt allemand, où la guerre est bien présente, tout à la fois lointaine et pesante, proche et absente, contée par une jeune femme comme tant d’autres, restée travailler aux champs et nourrir les bêtes, fille ainée d’une fratrie dont le père veuf en charge de famille ne fut pas mobilisable, celle d’une jeune femme qui allait perdre un frère et un mari.
Après un prologue, vient une suite de 5 contes, comme les 5 années de guerre ; autant de récits de vie, donc authentiques, avec des digressions, clins d’œil au monde de l’enfance, citations ou références au conte, à la littérature jeunesse, mis en dialogue, amplifiés, soulignés, accompagnés… à l’accordéon, aussi bien par des variations et improvisations à partir de comptines, complaintes, chansons enfantines, mélodies populaires connues et reconnaissables que par des créations.
Ainsi est offerte à tous, jeune public, adolescents et adultes, une approche non pas historique mais sensible de « la grande guerre », et au-delà, de toutes les guerres ; à hauteur d’homme, la voix d’une femme, une grand-mère qui raconte, certes pour un enfant mais aussi, finalement, pour tous : petits et grands.
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