Réforme des rythmes scolaires impossible à Pollestres

Daniel Mach, maire de Pollestres, secrétaire départemental de l'UMP'66, a adressé un courrier au Directeur académique, le 20 novembre dernier, dans lequel l'ancien député de la 1ère circonscription des P-O écrit notamment : « ...Pour une commune comme Pollestres, la mise en oeuvre de la réforme des rythmes scolaires représenterait une dépense supplémentaire de 90 000€ par an. Pour la financer à 100%, il nous faudrait augmenter les impôts locaux de 7%, alors que depuis plus de dix ans le Conseil municipal que je préside se bat pour préserver le pouvoir d'achat des Pollestrencs. Sur fon de baisses de dotations de l'Etat, cette nouvelle charge est un coup de massue asséné aux communes (...). Au-delà de la nécessité de réformer notre Ecole, il n'en demeure pas moins que dans nos communes, cette réforme est financièrement impossible ».

Daniel Mach, maire de Pollestres, secrétaire départemental de l'UMP'66, a adressé un courrier au Directeur académique, le 20 novembre dernier, dans lequel l'ancien député de la 1ère circonscription des P-O écrit notamment : « ...Pour une commune comme Pollestres, la mise en oeuvre de la réforme des rythmes scolaires représenterait une dépense supplémentaire de 90 000€ par an. Pour la financer à 100%, il nous faudrait augmenter les impôts locaux de 7%, alors que depuis plus de dix ans le Conseil municipal que je préside se bat pour préserver le pouvoir d'achat des Pollestrencs. Sur fon de baisses de dotations de l'Etat, cette nouvelle charge est un coup de massue asséné aux communes (...). Au-delà de la nécessité de réformer notre Ecole, il n'en demeure pas moins que dans nos communes, cette réforme  est financièrement impossible ».

Daniel Mach, maire de Pollestres, secrétaire départemental de l’UMP’66, a adressé un courrier au Directeur académique, le 20 novembre dernier, dans lequel l’ancien député de la 1ère circonscription des P-O écrit notamment : « …Pour une commune comme Pollestres, la mise en oeuvre de la réforme des rythmes scolaires représenterait une dépense supplémentaire de 90 000€ par an. Pour la financer à 100%, il nous faudrait augmenter les impôts locaux de 7%, alors que depuis plus de dix ans le Conseil municipal que je préside se bat pour préserver le pouvoir d’achat des Pollestrencs. Sur fon de baisses de dotations de l’Etat, cette nouvelle charge est un coup de massue asséné aux communes (…). Au-delà de la nécessité de réformer notre Ecole, il n’en demeure pas moins que dans nos communes, cette réforme est financièrement impossible ».