L’adjoint au mairie s’exprime sur les réactions politiques concernant la grève à la CTPM

© Gregory Herpe

Olivier Amiel, adjoint au Maire de Perpignan, nous communique, sous le titre « L’utilisation politicienne du conflit injustifié des chauffeurs de bus à Perpignan », avec prière d’insérer :

« Ceux qui au Front National ou au Parti de Gauche, instrumentalisent et se disent solidaires du mouvement de grève dans les transports publics de Perpignan ne pourront pas justifier que les chauffeurs grévistes qui touchent dès la première année 2.600 euros bruts sur 14 mois, pénalisent lourdement l’économie locale, les déplacements scolaires, les habitants des quartiers prioritaires et des communes du Territoire qui souhaitent se rendre sur leur lieu de travail…

Tout ça, parce que la direction de l’entreprise ne propose « que » 1,2 % d’évolution salariale (alors que l’accord de branche est à 0,5 %) au lieu des 3 % souhaités par les grévistes… »