Jacques Cresta réagit à l’article mensonger de l’Indépendant

Jacques Cresta réagit à l’article paru dans le journal l’indépendant sous la signature de Jean-Michel Collet le vendredi 13 décembre en page 2, concernant le mouvement de grève des cheminots catalans.

Jacques Cresta réagit à l’article paru dans le journal l’indépendant sous la signature de Jean-Michel Collet le vendredi 13 décembre en page 2, concernant le mouvement de grève des cheminots catalans.

Voici la  la réaction de de Jacques Cresta suite à l’article paru le 13 décembre 2013 dans les colonnes du quotidien local laissant à penser que le député n’a pas souhaité rencontrer les représentants des Cheminots.

Jacques Cresta souhaite réagir à l’article paru dans le journal l’indépendant sous la signature de Jean-Michel Collet le vendredi 13 décembre en page 2, concernant le mouvement de grève des cheminots catalans :

Je m’inscris en faux contre la deuxième partie de l’article laissant entendre que je n’étais pas présent et n’ai pas souhaité recevoir une délégation des cheminots catalans en grèves.

Voilà plus de deux semaines que cette rencontre était organisée avec mon attaché parlementaire, moi-même étant retenu à Montpellier de longue date, au sein de ma permanence parlementaire, 11 avenue Pierre Cambres, et qu’à aucun moment il n’avait été évoqué de rencontrer ces derniers à mon local de campagne. Suite à cette erreur d’aiguillage les responsables syndicaux ont demandé à Laurent Rosello, mon attaché parlementaire, de venir à leur rencontre afin de les recevoir au café jouxtant la permanence. Ainsi une délégation de 5 personnes fut reçue à compter de 11h30 et durant une heure afin de faire part de leurs revendications tant sur l’avenir de leur entreprise, que sur leurs conditions de travail et la qualité des services aux usagers. Des documents ont été remis et dès ce matin, j’ai informé de cette rencontre et de sa teneur le Ministre des Transports.

Je trouve regrettable qu’avant de publier un tel article à charge, en période préélectorale, personne n’ai pris la peine de me contacter.

Jacques Cresta