Inhumation : son déroulement

Le décès d’un proche, que ce soit un ami ou un membre de la famille est certes douloureux. Toutefois, il faut organiser ses obsèques afin de lui rendre un dernier hommage, mais aussi pour exprimer le deuil. L’enterrement demeure le mode d’obsèques le plus pratiqué, l’autre possibilité étant la crémation. Pour réussir l’organisation des obsèques, le plus sûr est de faire appel à des pompes funèbres qui offrent les services funéraires. Elles organisent les différentes étapes des obsèques jusqu’à la mise en terre, sous les directives de la famille, dans le respect des différentes législations en vigueur et des coutumes spécifiques à la religion et à la région.

Le protocole à suivre avant l’enterrement

Malgré la douleur relative à la disparition d’un être cher, les proches doivent faire le nécessaire pour la mise en terre du défunt. Il est courant que l’organisation des funérailles soit confiée à des spécialistes comme ceux avec qui vous pouvez entrer en contact sur le site reposeo.com. L’enterrement est donc l’expression du deuil et l’hommage à l’être aimé. C’est aussi le moment des derniers adieux. Mais avant cela, il faut suivre une procédure administrative. D’abord, l’inhumation doit être effectuée au plus tard 6 jours après le décès. La loi exige l’inhumation dans les 24 heures ou au plus tard dans les 6 jours après le décès.

En outre, la famille doit procéder à la demande d’autorisation d’inhumer, autorisation sans laquelle la tenue de la cérémonie funèbre ne sera pas possible. Comme il est dit plus haut, les services funéraires sont spécialisés dans l’organisation de l’enterrement et dans le respect des derniers vœux du défunt.

En ce qui concerne le lieu d’inhumation, il appartient à la famille de le choisir si le défunt ne l’avait pas précisé de son vivant. Ainsi, le corps peut être enterré soit au cimetière, dans un caveau familial ou une concession funéraire personnelle, soit dans une propriété privée ou même dans un emplacement offert par la commune. Si le corps doit être inhumé dans une propriété privée, la famille doit effectuer une demande auprès du préfet. Il faut aussi noter qu’une partie du cimetière dans chaque commune est rendue disponible à titre gratuit par celle-ci. Pour en savoir plus sur le droit de la famille et les spécificités de la succession, visitez le site Ecodroit.

Le déroulement de l’inhumation le jour de l’enterrement

Suivant la loi, le corps peut rester quelques jours auprès de la famille afin que celle-ci puisse faire son deuil. Quant à l’inhumation, elle comporte plusieurs étapes allant de la salle où est placé le cercueil jusqu’au lieu de la mise en terre. Voici donc les différentes étapes de l’inhumation :

La cérémonie religieuse

C’est une étape facultative qui peut avoir lieu dans la salle où est placé le cercueil. Elle s’effectue avant le départ pour l’enterrement, mais certains optent pour un culte religieux, dans un lieu de culte, juste avant la mise en terre du défunt.

Le convoi funéraire

C’est en effet le convoi dans lequel la famille et les proches rejoignent le lieu d’inhumation. La tête du convoi est le véhicule qui transporte le corps du défunt.

Une fois arrivé sur le lieu d’inhumation, le personnel des pompes funèbres transporte le cercueil jusqu’à la tombe.

Les discours, éloges et mise en terre

Avant la mise en terre proprement dite, les membres de la famille procèdent à une série de discours et d’éloges funèbres en vue d’exprimer leur deuil, mais aussi pour faire leurs derniers adieux au défunt. Il se peut que la cérémonie religieuse ait lieu à cet endroit, juste avant l’enterrement. Après, l’on procède à la mise en terre à proprement parler.

Une fois le corps inhumé, les employés des pompes funèbres s’occupent de fermer et sceller la tombe ou le caveau familial.

Après l’inhumation, certaines familles organisent une collation. C’est également une occasion de présenter les condoléances pour certains proches s’ils n’ont pu le faire après la cérémonie religieuse, mais aussi un moment de partages et de retrouvailles.