Estagel : « Le Fest’itinérance » fait son marché

Les procédés de permaculture expliqués

D’Axat à Salses, en passant par Rivesaltes, voilà l’éducation à l’environnent qui se déplace dans la vallée de l’Agly.C’est ce dimanche 22 septembre que « la Tram’66 » a donné rendez-vous à tous les amoureux de la planète, à tous ceux qui souhaitent apporter leur pierre à l’édifice de la protection de l’environnement.(La Tram’66-CIEM Les Isards-7 carrer major-PY. WWW.tram66.org-Tel : 06 41 10 14 15)

C’est ainsi qu’un marché bien sympathique est venu planter ses étals à la promenade des platanes. Le but, comme devait nous le préciser Stéphane, coordinateur de « Tram’66 », « comment faire pour passer à l’action alors que la sensibilisation existe ».

Une vue de notre petit marché d’éducation



Tout un programme pour l’association

Le dessein de « Tram’66 », est en effet des plus louables. Œuvrer pour une planète riche et diversifiée, participer à l’épanouissement de l’individu, entrer dans la dimension collective, mutualiser les échanges, partager les expériences, voila l’ambition bien comprise de l’association. 

Permaculture et changement climatique intimement liés


Ainsi, si le point phare de ce dimanche, organisé par Sandrine, était Estagel, cette itinérance passant par les villages, devait permettre de continuer la sensibilisation indispensable, mais aussi aider à prendre les dispositions qui correspondent.
Un travail est déjà fait, nous semble-t-il, au vu des stands présents. Ainsi, avons-nous pu croiser Betty et cette volonté exprimée de « Zéro déchet » avec les diverses explications utiles pour permettre à chacun de prendre sa place.

Comment résoudre les problèmes de déchets


Mais aussi Nathalie de Saint-Paul-de-Fenouillet et sa production de bière dont les matières premières sont Bio.
Aliette, du Domaine viticole Bio « Grain d’Orient », basé à Caudiès-de-Fenouillèdes. 

Le domaine Bio « Grain d’Orient » basé à Caudiès de Fenouillèdes.


Bien d’autres encore, étaient présents à cette rencontre, comme la fabrication de savons, la production utilisant les méthodes de permaculture. Tous les ingrédients étaient réunis pour permettre le partage des riches expériences. 

Un public attentif et inspiré


Souhaitons que ce travail inlassable, de tous les instants, va continuer dans la vallée de l’Agly dont la nature si rude, n’en est pas moins plus belle, pour permettre aux générations futures de vivre sur une planète délivrée des nuisances d’un système produisant la pollution.

L’étal pour le maraîchage


Espérons que dans un proche avenir, ceux qui auront à charge la direction de nos villages, incluront dans leur programme cette volonté de tout faire pour préserver notre environnement. 
Et pas uniquement avec de bonnes paroles, qui trop souvent restent vaines, mais par des actes.
À bientôt, lors des prochaines municipales.

Joseph Jourda