Estagel/ Et vogue la galère : le Sénat en session !

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Estagel/ Vogue la galère : le Sénat en session.


Aujourd’hui, 29 novembre 2021, sera à marquer d’une pierre blanche dans les annales de notre bonne ville d’Estagel. En effet, en pleine session, voilà le ministre des affaires étranges d’Andorre venu saluer ses amis les Sénateurs. Il est vrai que depuis 36 ans, ce dernier officie dans la périphérie du village.

Le Ministre des affaires étranges proposé au café.




Belle journée agréablement agrémentée de la fameuse « fidéoa » cuisinée par l’expert en la matière, Jean-Louis Andrillo. Une expérience à répéter ont approuvé les responsables de l’institution. Mais d’autres menus sont d’ores et déjà en préparation.

Sous l’oeil vigilant de Jean-Pierre, la cuisson est en bonne voie.
Jean-Pierre prend le temps d’expliquer la composition du menu.




Une belle amitié construite au fur et à mesure des sessions.



Si tous les jours de l’année, les Sénateurs savent choisir à la promenade des platanes les endroits suivants les saisons, ils sont pourtant tous disposés à suivre les recommandations pour aller vers des cieux plus cléments, où les efforts pour éviter les aléas climatiques, tramontane, marin, trop fort soleil, pourraient se conjuguer.

Les regards sont toujours tournés vers l’avenir.


Ceci dit, voilà de belles amitiés forgées au fil des ans. Dans leurs discussions, et plus particulièrement ce vendredi, d’importantes perspectives ont vu le jour. Il semblerait que leurs réalisations ne dépendent que de quelques intervenants ou interventions.
Par exemple, celle vantant l’amour et la question essentielle : « Que reste-t-il de nos amours ? » Les amateurs de beaux textes comprendront et les chanteurs méconnus se reconnaîtront. C’est ainsi. Au Sénat, tout fini en chanson dont les textes sont choisis par Jean-Claude.

C’est l’heure du dessert concocté par Christine. On s’en lèche les doigts.


Et dans l’euphorie ambiante, l’imaginaire s’envolant dans les hautes sphères des dieux Grecs, peut-être ou certainement, notre royal Sénat nous réserve-t-il des surprises dignes du plus haut personnage d’Estagel. 

Les débats peuvent commencer !

Je veux bien entendu, citer François Arago qui fut, n’oublions pas, en 1848, pour une courte durée certes, (un mois et demi), président de la Commission exécutive, charge proche de celle de Chef de l’état. Quand même !
Avis aux amateurs !


Joseph Jourda