Estagel/ Cousinade : Juju et Maurice !

Cousins, cousines, les petits, tous ensemble; Le "planchot" de la généalogie trône au milieu du groupe.

Juju Roch était native du village. Maurice Destrade de Tostat, dans le piémont pyrénéen, situé en Bigorre, dans l’aire urbaine de Tarbes. Leur union, a donné treize frères et sœurs. Tous, ont grandi dans la maison 13 rue Gilbert Brutus, pas loin de l’église.

C’est sous l’égide de Régis que tous les ans, est organisée une « cousinade ». Cette année, elle avait lieu à l’espace de loisir Che Guevara.

Sur notre photo, Régis l’organisateur, au chapeau sang et or, en grande conversation

« Ils sont venus, ils sont tous là ! »

Il est toujours compliqué de faire en sorte de réunir de telles grandes familles.
Pensez donc ! Au total, 75 cousins, cousines avec les conjoints et les enfants. Ils ont été tout de même 53 à pouvoir se libérer et ainsi répondre présent a ce qui est devenu un rendez-vous incontournable dans l’année. Nous savons que ceux qui ne peuvent pas répondre par l’affirmative au rendez-vous, sont bien tristes du contre temps.

Uniquement le sexe masculin
Les filles seulement. Et toujours le planchot.
Les petit ! Certains sont déjà grands !

Ainsi Christopher, « l’Américain », le fils de Jeannot, n’a pu faire le déplacement. Mais Rémy, le Guadeloupéen, maître nageur de son état et un des fils de Roger, était lui bien présent ; comme les enfants de Dédé trop tôt disparue et ceux d’Henri à qui nous souhaitons un prompt rétablissement. La liste serait bien longue si nous devions citer tous les noms.

Le plaisir des retrouvailles

Mais ceux de Poy-Lecar, les enfants de Pierrot et Michèle étaient bien là aussi, dont Boris notre célèbre passionné de permaculture et Elsa avec sa petite prête à venir agrandir la famille.

Les cousines à l’ombre, laissent passer la grosse chaleur

Christelle, habitant à Saint-Paul, une des deux filles de Titou était également présente accompagnée de son mari administrateur à la cave. Quant à Alix, c’est son compagnon Bernard qui était proposé à la cuisson des escargots. Sans ce plat typiquement catalan, il manquerait quelque chose, les retrouvailles ne seraient pas possibles.
Il y a des ressemblances, des regards qui ne trompent pas. Ainsi, la progéniture de Guy, exilé à Belfort, est sans ambiguïté possible. Un chat ne saurait pas faire un chien.

Une mention particulière

À croire que d’avoir fait une carrière de caviste, entraîne le don de l’organisation, du travail précis, méticuleux. Ainsi, deux des fils de René sont toujours très impliqués. Régis, est l’organisateur, il en faut toujours un dans un groupe. Alexandre, le technicien de haut vol, sans jeu de mots, il travaille sur les avions, a eu le soin de fabriquer le « planchot généalogique ». Une riche idée et une riche fabrication par un procédé sorti en parti de sa tête bien faite.

Certains veillent…
… d’autres, comptent les points

Que dire de plus sur cette belle et grande famille en ce jour de fête !
Sinon que les enfants de Michèle, Annie, comme ceux de Sandrine et Domi, notre infatigable marcheur, auraient bien aimé être présents aussi. Une autre fois certainement.
Ainsi s’écoule la vie de cette grande famille honorablement connue à Estagel mais partout dans le monde, sommes nous tentés de dire.
À l’année prochaine, pour d’autres retrouvailles, sous le ciel du pays Catalan.

Joseph Jourda