Autour d’une œuvre
Jean-Bernard Mathon, responsable du Centre de conservation et de restauration du patrimoine, vous invite à découvrir l’histoire et la technique de réalisation du retable du XVIe siècle de l’église d’Argelès-sur-Mer, démembré à l’époque baroque. Parvenu à nous de manière fragmentaire, ce retable est l’un des plus beaux témoignages de la peinture de la Renaissance en Catalogne.
Jeudi 19 février, 15h30 à la Chapelle Notre-Dame des Anges (Gratuit)
Un trésor d’église vous attend !
Yvan Marquié vous invite à découvrir l’histoire de l’église de Catllar.
Cet édifice renferme un mobilier baroque d’une grande qualité, pour l’essentiel datant de la seconde moitié du XVIIe siècle. Vous pourrez également voir Notre-Dame de Riquer, une Vierge à l’Enfant datant du premier quart du XIVe siècle et les splendides ornements liturgiques réalisés à la Renaissance par Martí Laredo, brodeur à Perpignan en 1589.
Samedi 21 février,15h à Église de Catllar (Gratuit)
Du théâtre plein la Têt, c’est parti !
La compagnie Qu’est-ce à dire présente son spectacle « Pas bouger » ce vendredi à Tarérach, dans le cadre de la tournée Du théâtre plein la Têt. C’est une histoire simple : l’un est « a », tout entier dans le mouvement. L’autre est « b », tout entier dans l’immobilité. La rencontre de ces personnages les unit dans une même interrogation : comment vivre ?
Vendredi 20 février, 20h30 à Tarérach (Gratuit)
Toujours à l’affiche :
Exposition « Stratégie de la précarité »
L’artiste catalan Francesc Abad est un représentant majeur de l’art conceptuel en Catalogne. Sa peinture se caractérise par une simplification de la forme et de la couleur. Le corps est comme objet de l’œuvre d’art pour mettre en évidence leur aliénation de la vie quotidienne. À découvrir !
Jusqu’au 27 février à la Maison de la Catalanité (Gratuit)
Les Carnets de routes de Michel Tisnes
Les créations de Michel Tisnes sont élaborées à partir de divers éléments : objets de récupération, bois flottés, vieilles ferrailles, bribes de textes… Ces éléments, souvent détournés de leur fonction première, s’enrichissent alors d’un sens nouveau. On peut voir des bateaux, élaborés avec du bois de récupération ou peints, en cale sèche. Ces objets appartiennent à son univers quotidien, mais sont aussi une invitation au voyage dans l’imaginaire.
Jusqu’au 20 avril au Château Royal de Collioure