« Mon combat pour Perpignan » par Jean-Marc Pujol, maire de Perpignan

Jean-marc Pujol, maire de Perpignan
Jean-marc Pujol, maire de Perpignan

Jean-Marc-Pujol« Je ne rentrerai jamais dans ces jeux politiciens où l’on voit les adversaires d’hier qui se sont combattus pendant des années s’arranger entre eux pour se répartir des places.
C’est justement ce que ne veulent plus les Français et l’émergence du FN sur tout le territoire est le symbole de ce rejet des pratiques d’une classe politique sourde et aveugle.
A Perpignan, nous avons l’habitude des combats contre le FN dans la transparence de nos convictions de la Droite, du Centre et de la société civile.
Cette cohérence politique nous a permis de gagner l’élection municipale de Perpignan en 2014.
Nous nous retrouvons aujourd’hui dans la même configuration puisque sur les cantons intra-muros de Perpignan, nos candidats sont les seuls qualifiés et susceptibles de faire échec au FN au Moulin à Vent, au Vernet et à las Cobas.
Pour les autres cantons, je rappellerai simplement aux commentateurs amnésiques que le rajout de Cabestany, Toulouges et Canohès au dépeçage des cantons du centre-ville Perpignanais avait pour unique but d’affaiblir la Droite et le Centre Républicain.
Ce sont d’ailleurs les mêmes qui parlent de morale aujourd’hui.
Pour moi, la morale, c’est quelque chose de simple en la matière. On accepte de se battre sous ses propres couleurs, sans compromis, en portant les valeurs républicaines et universelles, à savoir la liberté d’expression, la laïcité, l’égalité et l’intérêt général.
C’est ce que je fais tous les jours dans les quartiers de Perpignan aux côtés d’Isabelle de NOELL-MARCHESAN et de Romain GRAU au Moulin à Vent, d’Annabelle BRUNET et de Richard PULY-BELLI au Vernet, de Joëlle ANGLADE et de Jean SOL à las Cobas, qui ont tous reçu l’investiture de l’UMP et de l’UDI.
Ne nous trompons pas. Le FN ne se combat pas par des mots, des postures ou des élucubrations d’intellectuels car sinon il n’existerait plus depuis longtemps.
Le FN se combat sur le terrain en regardant les angoisses de la société, en les comprenant et en essayant d’y répondre.
Charles PEGUY écrivait : ‘’il faut voir ce que l’on voit et surtout dire ce que l’on voit’’.
C’est le sens de mon combat pour Perpignan porté par les candidats du rassemblement de la probité et de la transparence.
Dimanche, pas une voix ne doit manquer aux seuls candidats qui peuvent faire échec au FN à Perpignan. »