L’artiste dévoile sa première passion : la danse imprégnée de l’école de Pina Bausch.
Habitée par ses émotions, elle développe son parcours particulier, riche en éléments de vie devant une assistance captivée, réceptive et participante.
L’Art est décortiqué. Plusieurs étapes sont abordées. De l’artiste émane la grâce. Sa gestuelle, son émotivité à fleur de peau nous éclairent sur la transcendance de l’art, la liberté dans l’art et la problématique du marché de l’art.
Elle évoque ensuite les diverses influences artistiques d’abord masculines (de Léonard de Vinci à Bacon) et ensuite féminines, hélas trop rares, dans l’art. Une belle parenthèse dans l’Expo libre comme l’Art.
