Estagel/ Dominique Piscione : deux passions, l’écriture et le chant

Venu dans notre village avec son épouse pour une retraite tranquille, Dominique nous fait profiter de ses passions : l’écriture et le chant. Qu’il soit le bienvenu dans notre vallée de l’Agly où se côtoient un nombre important d’artistes de toute confession. 

Après une carrière professionnelle dans l’assurance et plus spécialement dans le marketing et la communication, Dominique Piscione réalise enfin son rêve : s’adonner totalement à ses deux passions, la chanson et l’écriture. Installé avec son épouse à Estagel, pour retrouver ses racines méditerranéennes (il a quitté l’Algérie à l’âge de 12 ans), il y écrit sa première pièce de théâtre « Quelle histoire !? » publiée par Edilivre fin 2016 et jouée dès juin 2017. « Deux Orphelines pour Caracas » est son premier roman. Cet artiste dans l’âme, amoureux de la belle chanson française se produit aussi en duo ou en solo, essentiellement lors d’actions caritatives. Il a également écrit poésies et nouvelles qu’il envisage de publier ultérieurement.

L’auteur, Dominique Piscione

Deux orphelines pour Caracas (résumé)

Lorsque Marie et Lucie, tout juste sorties de l’adolescence, s’échappent de l’orphelinat où est née leur amitié, elles ne rêvent que d’autonomie et de liberté.
Cependant, leurs candides aspirations s’évaporent, tandis qu’elles déambulent dans les rues de Paris, sans argent, sans papiers, ni nulle part ou aller. Aussi, lorsqu’on leur propose un emploi de danseuses, elles n’hésitent pas un seul instant à se lancer dans l’aventure, quelle que soit la destination envisagée.
Toutefois, peuvent-elles faire confiance à des employeurs qui ne voient qu’un moyen de s’enrichir ?
Très vite, les deux jeunes femmes prennent conscience qu’elles se sont mises dans une situation où il sera difficile de s’extirper. Mais c’est sans compter sur la bravoure de deux jeunes amoureux et de Jeanne, agent infiltré de la préfecture de police.
Dans ce roman émouvant qui nous rappelle « Onze minutes » de Paulo Coelho, nous sommes entraînés au cœur de sombres réseaux où l’on cueille et exploite une jeunesse à peine éclose qui, dans l’empressement de l’innocence, accepte sans le savoir de devenir objet.

Vous pourrez trouver le livre en début d’année chez Félix (bureau de tabac sur la place Arago) et au caveau des « Vignerons des Côtes d’Agly » route de Maury, au prix de 14 euros.
Sur le net au prix de 1,99 euro.

Bonne réussite pour ce premier roman, en attendant le prochain.