Retour en photos sur cette cérémonie à laquelle ont participé, entre autres, Pierre Aylagas, député-maire, des représentants de la commune et des associations d’anciens combattants.
Cette plaque rappelle aux randonneurs qui empruntent les chemins frontaliers du département que ces chemins furent aussi, de 1940 à 1944, des chemins d’espoir et de liberté face à l’occupant nazi.
Pour les résistants pourchassés, les réfractaires au STO cherchant à rejoindre les Forces Françaises Libres, les passeurs des villages frontaliers menacés de déportation ou de mort, les pilotes alliés abattus dans le ciel de France et les juifs victimes de la persécution nazie, la frontière, défendue par l’armée allemande et par la Guardia Civil espagnole, était un obstacle difficile à franchir. Certains de ces chemins avaient déjà été empruntés en 1939, mais dans l’autre sens cette fois, par les Républicains Espagnols fuyant le franquisme.
